Le Conseil Royal Consultatif des Affaires Sahariennes (Corcas), représenté par Moulay Ahmed Mghizlat, a participé au sein de la délégation marocaine à la présentation du rapport national du Maroc au titre du 3ème cycle de l’Examen Périodique Universel (EPU), qui a eu lieu le  2 mai 2017, à Genève.

Lancement d’un prix Macky Sall  pour favoriser la résolution pacifique des conflits en Afrique

Les représentants du Conseil Royal Consultatif des Affaires Sahariennes (Corcas) à la 34ième session du Conseil des Droits de l’Homme de Genève, Saadani Maouelainin, Moulay Ahmed Mghizlat et Hassan Sbai,  ont  participé, mardi 21 mars 2017,  au Panel de Haut niveau organisé par le Centre Indépendant de Recherche et d’initiatives pour le dialogue (CIRID), en marge de la session à Genève, et présidé par le Président du Sénégal M. Macky Sall.

Le Conseil Royal Consultatif des Affaires Sahariennes prend part, aux côtés de la délégation officielle du Royaume du Maroc, à la trente-quatrième session du Conseil des droits de l’homme qui se tient au Palais des Nations à Genève jusqu'au 24 mars prochain.

En reconnaissance de son apport et parcours exceptionnel dans la défense des droits de l’homme, en particulier dans le domaine de l’éducation de qualité

Saadani Maouelainine, membre du Conseil Royal Consultatif des Affaires Sahariennes (Corcas), a récemment,  obtenu, lors d’une cérémonie qui a eu lieu à Lima, capitale du Pérou,  un hommage particulier de la part du Conseil Ibéro-américain de l’excellence en matière d’enseignement dans les pays membres, en agissant aussi en faveur de la diffusion des valeurs humanistes dans les sociétés ibéro-américaine.

Pendant les 41 ans la communauté internationale a échoué à défendre les droits de l’homme dans les camps de Tindouf et à recenser leur population

 Ahmed Lakhrif, membre du Conseil Royal Consultatif des Affaires Sahariennes (Corcas), a estimé que seuls les élus choisis démocratiquement et en toute transparence par les habitants des provinces du sud au titre des élections nationales marocaines, peuvent légitimement utiliser le statut de représentants des habitants des provinces sahariennes.