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jeudi 16 mai 2024
 
 
 
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Deux citoyennes marocaines, une femme et sa fille, ont réussi à fuir les camps de Tindouf pour regagner dimanche dernier la mère patrie, en réponse à l'appel royal "la patrie est clémente et miséricordieuse".



Il s'agit de Mme Souilka Amine, née en 1961 à Smara, et de sa fille Fatima Hamma, âgée de 24 ans. Les deux femmes appartiennent à la tribu des Laâroussiyine dans le Sahara marocain.

Les deux ralliées ont souligné que par leur retour, elles comptent réaffirmer leur appartenance à la Nation, notant qu'elles ne pouvaient plus supporter l'enfer des camps du Polisario, au sud-ouest de l'Algérie, où la situation est devenue intenable en l'absence du strict minimum des conditions de vie humaine.

Dans une déclaration à la MAP, les deux femmes ont indiqué que les milices des séparatistes "ont intensifié leurs exactions contre les citoyens marocains, les privent du droit à l'expression et contrô lent leurs mouvements à tout moment".

"Notre retour procède aussi de la conviction, de plus en plus répandue parmi les séquestrés marocains de Tindouf, qu'ils peuvent contribuer au développement global que connaît le pays, en général, et les provinces du sud en particulier. Ils (les séquestrés) guettent la première occasion pour fuir les camps", ont-elles raconté.

Mme Souilka Amine et sa fille ont mis en exergue la proposition marocaine d'octroyer une large autonomie aux provinces du sud du Royaume, sous la souveraineté nationale, relavant que cette proposition "est un honneur fait par SM le Roi à tous les fils du Sahara marocain".

Source : MAP
- Actualité concernant la question du Sahara occidental/Corcas -

 

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