Au regard de ces agissements, l'ATSE a, dans un communiqué transmis à la MAP, appelé les ONG des droits de l'Homme "à séparer le bon grain de l'ivraie", et à "prendre conscience de l'utilisation qui est faite par Aminetou Haidar de la notion de militant des droits de l'Homme".

"N'étant, en réalité, ni une militante ni un défenseur des droits de l'Homme", Aminetou Haidar ne fait "qu'exploiter le climat de liberté qui prévaut au Maroc, et qui s'est consacré davantage depuis l'intronisation de SM le Roi Mohammed VI, pour comploter contre l'intégrité territoriale du Royaume et servir les conspirateurs et séparatistes", précise l'Association.

S'afficher comme ""militante des droits de l'Homme", c'est en fait un moyen de faire parler d'elle, pour pouvoir ensuite se positionner comme "opposante" au Maroc et tenter de passer pour une "héroïne" sur les médias pro-polisario", souligne le communiqué.

C'est aussi "un moyen de se faire connaître en s'affichant sur des pages de sites Internet, et de se créer une notoriété", grâce à laquelle "elle peut ensuite être invitée sous l'image erronée de militante des droits de l'Homme et poursuivre sa démarche de propagande pro-polisarienne", ajoute la même source.

L'ATSE pointe du doigt le fait qu'Aminetou Haidar, qui se prétend "une militante" des droits de l'homme, passe sous silence "toutes les atteintes des droits humains dans les camps de Tindouf".

Soulignant que ces agissements "offensent les sentiments de l'ensemble des Marocains, unanimes autour de leur cause nationale sacrée", l'ATSE appelle les ONG des droits de l'Homme, connues pour leur honnêteté, à dénoncer cette prétendue appartenance de Aminetou Haidar à "un quelconque mouvement des droits de l'Homme".

Source : MAP
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