Le membre du Conseil, Mme Saâdani Maouelainin, représentante de l'organisation internationale (Ocaproce International) au Maroc, a relaté la souffrance des enfants séquestrés dans les camps de Tindouf en territoire algérien lors d’une rencontre au Palais des Nations Unies à Genève et cela via son expérience d’enfant déporté des que le Polisario arracha à sa famille et procéda à sa déportation vers Cuba.

Mme Saâdani dévoila la violation systématique depuis des décennies de la part du Front Polisario telle que la déportation forcée des enfants sahraouis vers Cuba prétextant l'éducation, en les obligeant à travailler dans les champs, dans les maisons, dans les usines et dans les camps d'entraînement militaire et où ils font objet de viols, de violences et de privations.

Mme Saâdani traita aussi les souffrances des femmes sahraouies dans les camps, où elles sont opprimées contre leur volonté, interpellant la communauté internationale à faire ressortir les femmes et les enfants séquestrés dans les camps de Tindouf de l'enfer du joug du Polisario et de l'Algérie.

Dans ce contexte, le membre du Conseil a mis en relief le projet d’autonomie que le Royaume du Maroc a mis sur la table des négociations sous l’égide des Nations Unies, une solution raisonnable et réalisable, capable de faire ressortir les Sahraouis de l'enfer des camps et en mesure de les ramener dans le giron de la mère patrie.

A cette rencontre, à laquelle ont assisté sept membres du Conseil, ont pris part la princesse Michelin Maco Dujoma, présidente de l'organisation Ocaproce pour la communication en Afrique et pour la promotion de la coopération économique internationale et sa représentante au sein de l'Office des Nations Unies à Genève, New York et Vienne, le professeur Alfred De Sayas de l'Institut international des relations diplomatiques à Genève et expert indépendant du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies en ce qui concerne les questions de droits de l'homme et le système international et M. Altaf Houssine Wani de l'Institut des relations internationales au Cachemire ainsi que Mme Shogafta Achraf, professeur à la Université Asad Jamou au Cachemire.

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