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jeudi 25 avril 2024
 
 
 
Presse Ecrite

L’Algérie est “entièrement responsable” de la création et du maintien du conflit régional artificiel créé autour du Sahara marocain, écrit le journal panaméen, “La Verdad Panamá”.


Dans un article, la publication souligne que de nombreux experts internationaux ont insisté, le temps d’une rencontre virtuelle organisée récemment par la Coalition pour l’autonomie du Sahara (AUSACO), sur la responsabilité “entière et confirmée” de l’Algérie dans ce différend.

Ils ont, par la même occasion, mis en avant la pertinence et la prééminence de la proposition marocaine d’autonomie comme “seule et unique” solution à ce conflit régional sous la souveraineté et l’intégrité territoriale du Royaume.

Lors de cette rencontre tenue sous le thème “La réalité du différend régional sur le Sahara : Responsabilité de l’Algérie, nature du Polisario et l’autonomie comme seule et unique solution” au conflit, ces experts ont relevé que depuis la création du Polisario, le régime algérien “n’a eu de cesse” d’apporter un soutien militaire, politique, diplomatique, logistique et financier à la milice séparatiste.

Intervenant à cette occasion, Ricardo Sanchez Sierra, vice-président de la Fédération des journalistes péruviens, a mis l’accent sur la responsable “entière et confirmée” de l’Algérie dans ce conflit, tout en dénonçant ses “velléités expansionnistes” à travers la création d’une “république fantoche” dans les provinces du Sud du Maroc.

Selon le journal, M. Sanchez a critiqué les “vaines tentatives” d’Alger visant à porter atteinte à l’intégrité territoriale du Maroc, ajoutant que l’Algérie “a cédé une partie de son territoire à Tindouf à l’organisation criminelle du Polisario pour l’utiliser comme base contre le Royaume et ainsi servir son agenda séparatiste”.

L’intervenant a, dans ce cadre, appelé la communauté internationale à inscrire le Polisario  sur la liste des organisations terroristes, notant que son chef, le dénommé Brahim Ghali, fait l’objet d’une série de procès pour violation des droits de l’homme et crimes contre l’humanité.

De son côté, l’expert mexicain en développement international, Pedro Diaz de la Vega, a mis en avant la participation massive des habitants du Sahara marocain au triple scrutin du septembre dernier, relevant que ces populations jouissent de leurs pleins droits dans leur mère patrie.

Même son de cloche chez l’expert espagnol en affaires maghrébines, Rafael Esparza Machin, qui a mis en relief l’initiative d’autonomie présentée par le Maroc en 2007 comme “unique” solution au conflit artificiel autour du Sahara marocain dans le cadre de la souveraineté et l’intégrité territoriale du Royaume.

“La Verdad Panamá” a, par ailleurs, indiqué que cette rencontre, modérée par le président de l’Association “Alter Forum”, Bachir Dkhil, ancien membre fondateur du Polisario, a été marqué” par le témoignage de M. Hmada El Bihi, président de la Ligue du Sahara pour la démocratie et les droits de l’Homme, sur son expérience de kidnapping aux mains des milices du Polisario et les souffrances qu’il a subies dans les camps de Tindouf.

-Actualité concernant la question du Sahara occidental/Corcas-


 

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