|  Les véritables parties impliquées dans des situations de conflit doivent assumer leur responsabilité, a affirmé, mercredi, le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger lors d’une réunion ministérielle du Groupe des Amis de la médiation de l’ONU, tenue en mode virtuel.
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|  Dans le contexte de la dynamique en cours au Sahara marocain, avec la reconnaissance américaine, la nouvelle position de l'Allemagne et le rôle positif de l'Italie, l'autonomie, le développement et la stabilité de la région doivent être la pierre angulaire d'un nouveau cadre de légalité et de reconnaissance mutuelle, estime le Centre italien des études internationales.
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|  En appelant toutes les parties concernées à reprendre le processus politique au sujet du différend autour du Sahara marocain, le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a réaffirmé l’implication claire de l’Algérie dans ce conflit artificiel, relève le directeur du Centre africain d’intelligence stratégique (CISPaix), le professeur Abdoul Latif Aidara, notant que le chef de l'ONU a "en langage but, dénoncé une ingérence de l'Algérie dans les affaires intérieures du Maroc".
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|  Toutes les résolutions adoptées par le Conseil de sécurité de l’ONU sur le Sahara marocain confirment, sans ambages, "l’implication directe" du régime algérien dans ce différend artificiel, souligne le politologue espagnol, Pedro Altamirano.
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|  En renouvelant son appel à toutes les parties pour la reprise du processus politique en vue d’une solution durable à la question du Sahara marocain, le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, rappelle à l’Algérie sa pleine responsabilité dans ce conflit et fustige sa politique d’obstruction, ont indiqué des experts américains.
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