L’adhésion du Maroc à la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA) ne saurait être interprétée comme une reconnaissance d’une situation, d’un fait ou d’une entité qui menace son intégrité territoriale et son unité nationale, a affirmé, dimanche à Niamey, le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Nasser Bourita.

L’Union européenne et le Maroc adoptent pour la première fois un langage commun sur la question du Sahara, a souligné, jeudi dernier, à Bruxelles, Federica Mogherini, haute représentante de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité, vice-présidente de la Commission européenne.

L’Union Européenne (UE) a souligné qu’elle «prend note positivement des efforts sérieux et crédibles du Maroc» dans le processus politique visant à trouver une solution à la question du Sahara marocain, encourageant «toutes les parties à poursuivre leur engagement dans un esprit de réalisme et de compromis».

"Le groupe de soutien à l’intégrité territoriale du Maroc" a mis en avant mardi 25 juin à Genève, lors de la 41ème session du Conseil des droits de l’homme, la pertinence de l’initiative marocaine d’octroyer une large autonomie à la région du Sahara marocain.

Le Conseil Royal Consultatif des Affaires Sahariennes (Corcas) prend part, au sein de la délégation officielle du Royaume du Maroc, aux  travaux de la Quarante et unième session du Conseil des droits de l’homme (CDH) qui ont démarré, ce lundi 24 juin 2019 au Palais des Nations, à Genève et se poursuivront jusqu’au  12 juillet prochain.