|  La région du Sahara marocain « connaît un essor économique inédit, que conforte un élan diplomatique international en faveur de la souveraineté marocaine sur la région et de l'Initiative d’Autonomie comme seule solution politique au différend régional sur le Sahara », écrit le magazine «L’Essentiel des Relations Internationales» dans un dossier spécial à l’occasion du 35eme Sommet ordinaire de l’Union africaine tenu samedi et dimanche à Addis-Abeba.
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|  Le Maroc a la volonté de trouver une solution au conflit artificiel autour du Sahara marocain dans le cadre de l’initiative d’autonomie et "rien que l’initiative d’autonomie sous souveraineté marocaine", a affirmé le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, pour qui le cadre de règlement serait des "tables-rondes avec la participation de la véritable partie à ce différend régional", c'est-à-dire l’Algérie.
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|  Les véritables parties impliquées dans des situations de conflit doivent assumer leur responsabilité, a affirmé, mercredi, le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger lors d’une réunion ministérielle du Groupe des Amis de la médiation de l’ONU, tenue en mode virtuel.
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|  Dans le contexte de la dynamique en cours au Sahara marocain, avec la reconnaissance américaine, la nouvelle position de l'Allemagne et le rôle positif de l'Italie, l'autonomie, le développement et la stabilité de la région doivent être la pierre angulaire d'un nouveau cadre de légalité et de reconnaissance mutuelle, estime le Centre italien des études internationales.
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|  En appelant toutes les parties concernées à reprendre le processus politique au sujet du différend autour du Sahara marocain, le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a réaffirmé l’implication claire de l’Algérie dans ce conflit artificiel, relève le directeur du Centre africain d’intelligence stratégique (CISPaix), le professeur Abdoul Latif Aidara, notant que le chef de l'ONU a "en langage but, dénoncé une ingérence de l'Algérie dans les affaires intérieures du Maroc".
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